Pierre BAYLE, un encyclopédiste précurseur
Pierre BAYLE , fils de pasteur Dans son Poème sur le désastre de Lisbonne, publié en 1756, VOLTAIRE insère cet éloge : “J’abandonne Platon, je rejette Épicure. Assez sage, assez grand pour être sans système, il les a tous détruits, et se combat lui-même : semblable à cet aveugle en butte aux Philistins, qui tomba…