Quand les livres étaient protégés des voleurs par des malédictions et des anathèmes

Une malédiction en guise d’antivol Que l’on soit collectionneur bibliophile, bibliothécaire ou archiviste, il est difficile, si nous constatons qu’un de nos ouvrages a été dérobé, de résister au réflexe de formuler des imprécations à l’adresse du coupable en souhaitant, dans son for intérieur, que la Providence se charge de le châtier. Dans ce cas…

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